Oh, c'est tu l'amour qui hurle quand ta nuque frôle mes lèvres?
Quand les heures se subliment dans l'attente de nouvelles?
Est-ce que ça ressemble à l'amour, mais ça a un arrière-goût de vide?
J'te rends ton corps.
Et tout ce que je ne mérite pas.
J'me rends encore.
(Loin de chez moi)
Y’a des murs en moi et y’a pas de craques pour passer.
J'te vois, tu prends les soins de prendre soin de moi.
Mais moi, je prends les soins de prendre soin de moi.
Depuis le début, je sens que nos étreintes laissent sur ton amour-propre les marques de la fin.
J'te rends ton corps.
Et tout ce que je ne mérite pas.
J'me rends encore.
(Loin de chez moi)
Y’a des murs en moi et t'es feras pas s'écrouler.
Perdu dans les possibles.
Je t'ai rendue impossible.
L'amour est distrait.
L'amour se distrait.
À ton tour, tu tireras un trait.
Perdu dans ce siècle où le choix tue l'amour.
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Quel bonheur de les retrouver, fidèles jusqu'au bout des ongles à ce qui fait des Vulgaires Machins ce qu'ils sont. "Qui met de l'acide dans mon eau potable?" Devine... Paul Taillon
Taking cues from Midwestern emo and early ’10 pop punk, this Leeds, UK outfit are full of heart— not to mention hooks. Bandcamp New & Notable Sep 21, 2022