On oublie si vite que tous ces concepts ont été fabriqués par l'Homme
On blâme la main au lieu de questionner la tête
On prie, médite, ferme l'œil; on regarde dans l'objectif que l'on fixe
On vit dans cet axiome où tout semble cohérent sur papier,
On vit entre noirs et blancs
D'autres pensent et lisent pour moi; check.
On dirait que l'Homme a froid.
On connaît si bien l'Homme,
Sa nature et son fer.
L'intelligence crève sur le pavé
Lancé pour la « démocratie »
Combien de jeunes morts? Combien d'histoires?
Combien d'actuaires, de droite pis de gauche vont encaisser
Avant d'accepter que nos milliers de modèles ne servent que d'autres.
Si seulement on inventait au lieu de croire, si on arrêtait de stagner
On connaît si bien l'Homme,
Mais on sait si peu de soi.
Illumine un peu l'atmosphère,
J't'en prie, fais-moi rêver.
Même le jour parfois je ne vois plus clair,
J't'en prie, fais-moi rêver.
Oui, on connaît si bien l'Homme
Mais on sait si peu de soi
Brûler le flou.
Prisonnier de nos prêts-à-penser,
La surface de l'étang crépite.
Le changement est une marche qui ballotte dans le vide.
Quel bonheur de les retrouver, fidèles jusqu'au bout des ongles à ce qui fait des Vulgaires Machins ce qu'ils sont. "Qui met de l'acide dans mon eau potable?" Devine... Paul Taillon
Taking cues from Midwestern emo and early ’10 pop punk, this Leeds, UK outfit are full of heart— not to mention hooks. Bandcamp New & Notable Sep 21, 2022