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L'Histoire c'est maintenant

by Fortune Cookie Club

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Maison Planàterre
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Maison Planàterre La 1ère fois que j'ai écouté le Titre "L'hospice est un bureau de vote", j'ai compris "Des érables, juste des érables. La soif ne justifie rien. J'hallucine, c'est normal". Je me suis dit:"Avoir soif à en voir que des érables, faut vraiment être Kebs pour en arriver là". En fait il est dit "Des erreurs justes, des erreurs... etc". Mea culpa. Je trouvais pourtant la toune bin bonne avec ces hallucinations d'érables partout... Un peu d'air frais dans la Maison a fait grand bien (un bon respire). Favorite track: L'hospice est un bureau de vote (Feat. Alexis Granger).
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    Sold Out

1.
Dans ma prison de vidanges, j’me questionne Combien plus d’êtres humains peuvent s’y empiler? Des gens se masturbent devant des chevaux, devant des enfants et devant de la merde Yen a qui aiment voir brûler des gens, pouvez-vous croire ça un instant? On a des pilules pour bander, trop habitués aux déshabillés La femme, une bébelle comme une autre Pas d’érection dans un lit de coke Et puis je pense au futur Sentez-vous les ordures? Ça va être sale Un berceau rempli de sex toys Des boules qui allaitent pu mais qui tiennent Meetings de cul sur internet, Rock stars et lunettes de soleil De la nécessité au progrès jusqu’à l’obscurantisme sexuel à l’école J’hèle mes relents d’dépotoire J’ai besoin d’un temps mort Parce que ça va être sale Merci. Je suis maintenant libéré, Je me sens vivant de me branler Devant tout ce que je peux imaginer Les phantasmes, dictent mes contacts sociaux Je suis vrai. Merci. De m’y faire penser. Tous ces gens avec qui je pourrais baiser Je suis diverti par l’envie Merci pour la liberté Je ne peux qu’imaginer La fausse sceptique qui se dessine La grande évolution de l’espèce Le soleil n’a pas fini de brûler Ça va être sale Ca ne peut qu’être sale
2.
Tanné des rats qui veulent ronger le navire, En espérant peut-être le voir couler Tanné de l’ennuie, comme unique certitude Tanné de mon désir de m’ennuyer Cerné par la fatigue Fatigué d’être cerné J’ai besoin de shows, de repartir en tournée Mais la scène est morte, on a crié tout seul À travers notre confort hésitant Le bonheur me fait mal Comme unique exception Le bonheur me fait mal Son incompréhension J’ai de l’amour sale en trop, un topo, dans ma peau Dans le trop plein d’amour propre et de rêves qui se démêlent, Bête, Égaré, l’air agar, je manque tous les trains, la gare est loin On dirait que si j’veux vivre d’art, va falloir j’vende un rein Ya pas de formules gagnantes Pour faire ce que l’on aime, en restant intègre, Et de l’argent en même temps L’agent, le bookeur, ou le con à la merch Ca c’est tout nous autres en même temps Le bonheur me fait mal Comme unique exception Le bonheur me fait mal Son incompréhension Je suis nostalgique d’hier comme de demain En espérant comprendre ce qui me lie si fort les mains Les « si tu veux tu peux », sont si loin dans mon dos Est-ce que j’ai honte de désirer l’idéal, l’exception? L’incertitude de l’avenir qui revient Le regard social face à ce qu’on fait de ses mains Les réers, la retraite, la routine Qui est l’exception? L’incertitude de l’avenir qui revient Le regard social face à ce qu’on fait de ses mains Les réers, la retraite, la routine Qui est l’exception? La société ne veut plus d’exception. Ce bonheur, n’est pas le miens Ne comble plus mon cœur J’ai envie de vivre Plus loin que le bout de mon nez J’ai envie de vivre Mais, j’ai aussi envie d’être aimé Je suis Mauvais Joueur Et le resterai
3.
Mes nuits sont trop courtes Mes journées sont trop longues Je garde certaines choses pour moi Je le sais que t’en fais autant Parfois j’me sens amorphe, étranglé par le temps Pourtant on se croise les doigts, On oublie d’avoir peur ou on oublie de se plaire Ou oublie d’oublier Qu’est-ce qu’on fait Qu’est-ce qu’on se dit Si un jour on s’aime plus? L’instant de se retrouver, parfois on s’est déjà perdu Est-ce qu’on se colle ou se blesse Comme de vieux amis? Est-ce juste l’amertume de vieillir Ou bien je m’attache à l’ennui ? Je broie du gris. Le divan est vicieux, comme les cercles sous nos yeux À quand une discussion, qui finira sans larme? Ces temps-ci, je préfère les jeux vidéo que mes jours de pluie Ça ne nous ressemble pas, On se connait bien mais tellement mal Y penses-tu , Si un jour on s’aime plus? Parfois se raconter notre journée, c’est plus dur que de ne pas parler Et on se coupe, sur l’orgueil, comme sur du papier Quand l’un va bien, l’autre va mal. J’ai du mal à me motiver, Je broie du gris. Dis-moi que ça va bien tant que nos regards ne se fuient pas Ya des portes partout mais j’ai perdu ma volonté et la moitié de mes amis C’est peut-être la routine Les gens qu’on aimerait chacun rencontrer Nos parents, le mi vingtaine qui semble vouloir nous narguer C’est peut-être notre cynisme, notre avenir Ma passion ou nos passe-temps Mais je n’arrive toujours pas à savoir si on est semblables ou différents Mais qu’est-ce tu feras? Ou bien me diras Si un jour tu m’aimes plus? Je me fou bien de qui a tort C’est surement toi qui a raison Mes amis sont de mon bord Et les tiennes ; elles t’appuient Insatiables et fatigués On aimerait faire des erreurs planifiées
4.
Nouveau rapport de collusion On ouvre une autre commission Même si l’opinion publique parle Ya aucunes briques juste un fanal Ya juste des mots Pour se remettre en question, déplorer les cancers Pour avoir plus que nécessaire, pour cette impuissance, même sincère J’me sens comme un oiseau, tombé de son nid J’trouve pu de sens à la vie, je fixe le ciel et je gémis Dégoûté d’être ici… Cette bulle de vide est mon lit de mort, Les contradictions, Me poussent à bout J’ai les yeux pleins d’eau Les veines qui tremblent Je veux que mon monde change La gorge en feu Je souhaite m’arracher les yeux Oui, j’ai les yeux pleins d’eau Les contradictions, Me poussent à bout J’ai les yeux pleins d’eau Une gauche en fractions Le privé est partout Prends un numéro... L’attente va être longue T’as pas fini de pleurer
5.
Est-ce que j’hallucine, Ou c’est normal? On abandonne la cause sociale On ose nous dire, de nous la fermer Quand c’est notre futur, avec lequel vous jouez Tant éloignés de la réalité La rhétorique est encore loi Comme les politiques réfractaires Des zélotes du lobbyisme Qui dirigent toutes les finances publiques Des erreurs justes, des erreurs La soif ne justifie rien Et on s’attend même pu à du changement On espère des politiques pour l’environnement On se fou de vos termes « responsables » Ou que t’appelle ça ; du développement durable Moi je sais que l’hiver est bien plus court Que la biodiversité se réduit tous les jours Que la brutalité policière, Devient une chose coutumière Pour instaurer une justice, qui avantage encore les plus riches Des erreurs justes, des erreurs La soif ne justifie rien Des erreurs justes, des erreurs Les faits sont devant nos yeux On courbe l’échine, face à un regard insidieux, Face au néo libéralisme On laisse s’éteindre, le collectif Et l’écart qui grandi entre les générations Trop de vieux qui sont encore moins aptes à voter que des enfants Ya tellement de différence, On a beaucoup plus de place dans le débat Face à l’horloge qui brûle Et la marchandisation de l’espoir qui sonne le glas Des erreurs justes, des erreurs Des erreurs, juste des erreurs La fin de ne justifie rien L'Hospice est un bureau de vote Je veux rêver plus que vous
6.
J’ai de la merde dans la tête, de la suite dans les idées Les mêmes mots qui se répètent sans créativité Des toons de pub, des défaites, des éphètes éphémères Comme un semblant de café qui te laisse un goût amer J’ai de la merde dans la tête J’ai de la merde dans la gorge, plus rien à raconter Je me sens comme une volaille qu’on aurait trop shootée Des albums d’or, qui prônent la déchéance mentale Même le punk s’émiette en hypocrisie verbale J’ai de la merde dans la tête Je me cherche une raison d’être
7.
Prisonniers de nos gestes et coupables Du sang partout autour de la table Trop d’estomacs vides, Ou trop de pleins, Moins de raisons que de ciment Pourtant, personne n’en dément Libérés de nos pulsions et de nos actes Le progrès perd soudain son air affable Les yeux injectés de sang, On aimerait contrôler le temps Mais ce petit pas qu’est l’homme Laisse place à un désert de sang J’aimerais pouvoir croire en plus, Donner un coup dans la ruche, Mais ma patience qui s’effrite, Il ne reste que la musique J’aimerais pouvoir croire en plus, Donner un coup dans la ruche Mais il ne reste que la musique Peu d’amour et peu d’éthique… Les nouveaux développements s’étendent Les boisés rasés sans aucune conscience Pour un centre d’achat, Ou des maisons toutes pareilles Les promoteurs se lèchent les doigts Moi mon cœur, lentement se noie J’aimerais pouvoir croire en plus, Donner un coup dans la ruche, Mais ma patience qui s’effrite, Il ne reste que la musique J’aimerais pouvoir croire en plus, Donner un coup dans la ruche Mais il ne reste que la musique Peu d’amour et peu d’éthique… J’aurai crié, brandi le blanc tout comme le noir Mais des imbéciles, y’en a partout, plus qu’on aimerait y croire Comment peut-on être à ce point dénué de jugement et se retrouver président? La démocratie est belle, et bien morte dans son nid. J’aimerais pouvoir croire en plus Mettre le feu à la ruche Mais je suis comme un malade Attendant le pronostique.
8.
L’herbe est plus verte ailleurs, Faut faire le nécessaire Pour arrêter nos mains De trembler pour un rien Parle-moi, ya tu quelque chose dans cette vie, Autre qu’envier son meilleur ami? Parle-moi, toutes ces choses éphémères sont là Pour combler ce que t’as pas Je ne veux jamais oublié, J’ai mon Cœur qui se bat, pour ne jamais me pardonner Et le temps comme seul dieu, Est-ce que je suis le seul qui rêve de plus que ce que l’on m’offre? Parle-moi, est-ce que tu te sens encore en vie? Ya rien de mieux que les sentiments ici Parle-nous, on était unis par la vie Maintenant, les seules chose que tu veux C’est le regard des tes amis, les cochonneries qu’tu t’paies La culture morte au printemps Moi, je ne suis pas née pour être libre que de temps en temps Je ne veux jamais oublié, J’ai mon Cœur qui se bat, parce qu’il est le seul qui veut t’aimer Et le temps comme seul dieu Dis-moi, j’tu le seul qui rêve de plus que ce qu’on nous offre? Parce que j’nous sens vide comme une tombe Ya juste d’la poussière qui m’inonde Des souvenirs plus rassurants Que notre vie actuellement Est-ce que je suis le seul qui sait pu trop Ce que l’on est ou ce qu’on doit être? J’ai l’impression d’être cave et moi-même d’me regarder de haut Mais si j’avais du courage Je ne nous laisserais pas vivre dans ce monde-là
9.
Je commence à vieillir Mais pourtant encore loin d’être vieux La salle d’attente est engorgée La ligne est mince, mais déjà tracée Cette peur de s’installer Le condo, la fatigue prolongée Quand c’est tout ce que j’ai répugné La route semble sombre derrière moi Je rentre à l’hôpital Des shows de fin de semaine Un emploi qualifié d’endurable 8 milliards de gens seuls Des yeux vides de nuances Face aux journaux et factures qui s’empilent sur le coin de la table. Vais-je envier mes amis plein d’argent Pouvant manger ce qu’ils veulent, n’importe quand? Je rentre à l’hôpital Le seul plan qui prend vie en moi L’autre bord de la vitre de la van, À chercher la clarté N’importe où ailleurs, peu importe le prix à payer Est-ce que ça en vaut la peine? Ai-je un problème dans ma tête? Non ce n’est pas de ma faute, c’est un besoin dans mes veines Je rentre à l’hôpital Proche du Malade Imaginaire Je feins d’être mort, pour sauver ma flamme Mais la vie est trop courte et trop belle Pour la regarder, d’un regard mort et puis la perdre Enfin, hors de l’hôpital.
10.
J’ai les yeux de volcan De jeux-vidéos, Je vis des hauts mais surtout des bas Je suis lasse mais surtout lassé, lacéré de pensées tièdes qui se posent en moi, sans me reposer Incessamment devant l’écran, je m’étends, étang de plénitude de vide Sourire, Merci, surtout, sourire Le temps saigne, et coule à terre, m’enseigne à me taire Je veux pas être terre à terre ; je veux m’évader Vol, rêve, vole, mais le punk c’était révolu avant d’exister Fallait voir le cash avant de s’exciter Puis toi, émoi, pris entre toi et moi Entre ma conscience ; prison de vérité de pilules dures à avaler Adieu adolescence Mais bon, on a chanté, on a dansé, on a bu nos soirs de pu finir d’être blancs En occident, Terre d’accueil à une blancheur qui se fait rare D’âme, de neige, de froid, de vrai, d’éternel candeur.. Puis, Nous, on se donne des cadeaux Dans le cadre c’est nous Nous, Noué d’indifférence poisseuse De bouées vierges de nous, -nous Rassure-moi… Est-ce qu’on se regarde même si on ne sait pas se regarder ? On se donne des choses parce qu’on ne sait même pas donner On fait plus rien de nos mains, parce qu’on a trop de chose à faire On économise même l’économie à s’épuiser de paresse lourde Pourtant l’amour est présente, comme une ombre maternelle qui plane et s’exalte sans jamais faire halte En attente d’un soleil, d’un peu de lumière pour la faire exister Existentialiste d’opportunité Ferme-toi les yeux aux guerres de Wal-Mart Ouvre-toi les yeux, c’est le moment de te décrasser l’âme De faire main basse de tes cents trop noirs de trop De tes cannisses de pois pesantes De tes vieux chandails effilochés de souvenirs plates De tes jouets joués de plaisirs de toutes les couleurs Noël c’tune fête de toutes les religions, mais surtout de l’argent Un prétexte pour perpétrer la déshydratation, du cœur et du saint esprit Amènes-en des bouteilles de remèdes Noël c’est comme une maladie ; l’agique, Magique, tragique, léthargique, une vraie pièce de théâtre qui n’en finit plus de finir Et qui se répète Qui réconcilie les vieilles chicanes Qui nous fait bouillir d’angoisse de présent Qui nous perpétue l’attente Étreinte sur nos cous larges de dettes Qui nous enchaîne dans un système sans qu’on en rende compte Allez ! Rêvez tant que vous le pouvez. Vous n’êtes pas seuls dans votre solitude Vous prendrez un peu plus de place de vos bourlets, laids de contentement De frigidaires frets pleins de restes de matantes seules de dindes traditionnelles de «je ne sais pas comment m’habiller» de faux mercis de chemises trop grandes d’hypocrisies enfantines malsaines ; de bonheur comme on «l’entend» ici. Une raison de se retrouver même si ça nous tente plus Une raison de se sortir de ses jeux vidéo Je vis des hauts mais surtout des bas de noël qui débordent La fête sera longue c’t’année, la neige à grisé, les jouets ont joués Le frigo à frigoté de fricatives, de bonheur comme on l’entend à télé, à radio, à guignolée des guignols, oui de bonheur. Pardon pour vos sujets made in tiers monde trop exploités. Allez, barrez les portes, fermez les fenêtres jusqu’à étouffer d’air rance de malheur comme on le «murmure»! Allez ! Rêvez un peu, tant que vous le pouvez encore.
11.
10/30 10:32
Les butchs de joints s’accumulent encore sous le téléviseur Parlez-moi plus de photos, les sourires me donnent mal au cœur Les préjugés des gens ne me surprennent même plus Je sens bien la honte de la fatalité Je sens bien que je stagne devant la réalité J’envie presque la misère des pauvres, des mal aimés Moi j’ai tout et je me bats contre moi même «La vie est un opprobre, la mort est un devoir» Le silence ne vaut plus rien Je rêve d’une mission pour mes mains L’économie encore l’économie L’économie, toujours l’économie L’économie de distance, l’économie de temps L’économie, toujours l’économie L’économie de marché, l’économie sème : L’économie, toujours l’économie L’économie de savoir, l’économie de mots L’économie, toujours l’économie J’ai un ennemi, comme déprime, ma seule peur «La vie est un opprobre, la mort est un devoir» Le doute est inhérent Quand ma conscience joue au bord du néant On veut tous ta mise à mort, Pas juste à Wall Street ou dans le Nord On veut tous ta mise à mort, Même sans le savoir Encore, encore, encore plus fort, La honte en moi qui grandie J’ai tant de mal à rester cohérent Bang Bang, ya plus rien dans ma tête, plus de schémas, j’ai peur des autres Bang Bang, un orage me transperce, je dégoute, j’ai peur d’aimer Les lignes téléphoniques Débordent d’imbéciles Qui s’ouvrent à la radio Le débat de fond qui stagne J’aimerais que leurs sondages imbéciles mentent Pointez-en des coupables Soit. Estropié mentalement Je m’en fais trop. L’étalement, de mes pensées C’est létale, mensonge qui se répète J’y songe, je me la pète Au moins je ne serai pas cadre chez mc do Soit. Ya un faussé de génération Un trou, plein de statistiques faussées Une sécession issue du colonialisme De l’immigration et des religions Soit. Le monde est juste épais Destiné à se rassurer lors des paix Paysage violé, par notre manque de mots L’incompréhension, motivant nos milliers de défauts Soit. Des millions de gens sont morts pour rien Pour perdre nos droits dans le purin institutionnel De nos consciences engluées, de cours d’appels De «personne à tort», rien non, «rien n’est pour rien» Soudain, le monde ne fait plus de sens Même les règles établies; pas de cohérences La gravité n’empêche pas de voler La lumière n’empêche pas de croire Soudain, leurs avis, maquillés de fer À tous ceux qui se disent terre à terre Lucides, mais qui rêvent toute la journée D’un bonheur qui ne peuvent pas se payer Pourtant, Ça chauffe dans le fond de mes yeux Je voudrais me convaincre d’être heureux Mais ya trop d’idiots dans leur condo Qui boivent les paroles de V télé J’y vois encore un peu plus clair J’aurai pu de voix, j’aurai pu de frère Mais la lâcheté n’aura pas le dessus Merci pour l’offre, mais j’ai un but Tapis dans l’ombre attendant la lumière Merci pour l’offre, mais je n’ai plus de patrie pour vos guerres Nous ne sommes pas seuls, nous sommes encore un peu plus fort Plein de rage ou d’envies, faibles, anxieux, mais pas morts Encore, encore, encore plus fort Plein de rêve et d’ennui, La vie n’était peut-être qu’opprobre; nous n’étions que poussière Tapis dans l’ombre attendant les prémisses de la lumière Mes vingt-deux ans se fondent et perlent en moi comme le temps Devant l’attente inutile, coutume délétère de l’Occident La vie n’était peut-être qu’opprobre; nous n’étions que poussière Tapis dans l’ombre attendant les prémisses de la lumière Mes vingt-deux ans se fondent et perlent en moi comme le temps Devant l’attente inutile, et la mort maternelle du printemps
12.

about

Enregistré et Masterié par Luc au Red Tube Studio

credits

released April 2, 2013

Merci aux personnes qui ont contribué à cet album :

Mario Ouellet, Alexis Granger, Till Lemoine, Olivier Portnoi, Doom Pelletier, Clement Khayat, Yotam Ben Horin

Et aux Labels/Assos suivantes :

Panda Records
Firework Collective
NFFP Records
Barbier Records
Hangover Records
Boripunk Asso
Deux Pieds Deux Dents Asso
Mômes Tristes Records
Aliena Asso

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